débats et controverses – Limpidius https://www.limpidius.com/en_gb e-tickets de caisses pour les grandes enseignes du retail Wed, 21 Dec 2022 10:04:41 +0000 en-GB hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.limpidius.com/wp-content/uploads/2021/10/cropped-Favicon-Limpidius_1-1-32x32.png débats et controverses – Limpidius https://www.limpidius.com/en_gb 32 32 Ticket de caisse dématérialisé: qu’en pense ChatGPT? https://www.limpidius.com/en_gb/ticket-de-caisse-dematerialise-quen-pense-chatgpt/ Wed, 21 Dec 2022 09:53:24 +0000 https://limpidius.com/?p=3870 🎤 Nous avons interrogé ChatGPT pour évaluer la pertinence de ses réponses sur le ticket de caisse digital.

Notre impression:

  • quelques erreurs grossières
  • des évidences de type “l’eau ça mouille”
  • mais une vision bien plus proche de la réalité d’un ticket de caisse électronique que ce que porte l’imaginaire collectif (pour qui le ticket de caisse numérique est essentiellement “le ticket de caisse par email” → notion totalement absente des réponses ici).

💡 En résumé: ChatGPT met l’émotionnel de côté mais reste très approximatif là où les détails comptent plus que tout.

Voyez plutôt 👇

 

Limpidius: Le ticket de caisse dématérialisé pollue-t-il?

 

ChatGPT: Un ticket de caisse dématérialisé, également appelé ticket de caisse électronique, est un moyen de paiement qui ne nécessite pas l’impression d’un ticket papier. En utilisant un ticket de caisse dématérialisé, vous pouvez réduire votre empreinte carbone et contribuer à la lutte contre la pollution.

En effet, l’impression de tickets de caisse sur papier nécessite de l’encre, de l’énergie et des ressources naturelles, tandis que l’utilisation de tickets de caisse dématérialisés peut aider à réduire ces impacts environnementaux. De plus, le transport et la gestion des tickets de caisse papier peuvent également contribuer à la pollution, alors que les tickets de caisse dématérialisés sont généralement stockés et gérés de manière plus efficace.

Il est important de noter que, bien que l’utilisation de tickets de caisse dématérialisés puisse contribuer à réduire la pollution, cela ne signifie pas qu’il n’y a pas d’impact environnemental associé à leur utilisation. Par exemple, l’utilisation d’un appareil électronique pour générer et stocker les tickets de caisse dématérialisés peut consommer de l’énergie et nécessiter l’extraction de matières premières. Cependant, ces impacts peuvent être réduits en utilisant des appareils éco-énergétiques et en adoptant des pratiques durables dans la gestion des appareils électroniques.

 

Limpidius: C’est faux. L’impression de ticket de caisse ne nécessite pas d’encre car il s’agit de papier thermique!

 

ChatGPT: Vous avez raison, je m’excuse pour cette erreur. Les tickets de caisse imprimés sur papier thermique ne nécessitent pas d’encre, mais ils peuvent nécessiter de l’énergie pour fonctionner et être produits. En effet, la production de papier thermique peut avoir un impact environnemental, notamment en raison de l’utilisation de ressources naturelles et de l’énergie nécessaire pour la production du papier.

De plus, même si les tickets de caisse imprimés sur papier thermique ne nécessitent pas d’encre, ils peuvent encore contribuer à la pollution en raison du transport et de la gestion des tickets de caisse. L’utilisation de tickets de caisse dématérialisés peut aider à réduire ces impacts environnementaux en évitant l’impression de tickets de caisse sur papier et en permettant un stockage et une gestion plus efficaces des données de paiement.

Il est important de noter que l’utilisation de tickets de caisse dématérialisés peut avoir un impact environnemental, notamment en raison de l’utilisation d’appareils électroniques pour générer et stocker les tickets de caisse dématérialisés. Cependant, ces impacts peuvent être réduits en utilisant des appareils éco-énergétiques et en adoptant des pratiques durables dans la gestion des appareils électroniques.

 

Limpidius: OK mais il y a encore deux erreurs dans votre réponse. Le ticket de caisse dématérialisé n’est pas un moyen de paiement, mais une preuve de paiement. Et par ailleurs, il se peut qu’un ticket de caisse papier soit aussi imprimé, même si il est digitalisé.

 

ChatGPT: Je vous remercie pour votre observation. Vous avez raison, un ticket de caisse dématérialisé est en effet une preuve de paiement plutôt qu’un moyen de paiement. Je m’excuse pour cette erreur.

Vous avez également raison de mentionner que les tickets de caisse papier peuvent être digitalisés, même s’ils sont imprimés. Cela signifie que les données contenues sur le ticket de caisse sont numérisées et enregistrées électroniquement, ce qui permet une gestion plus efficace et une réduction de l’utilisation de papier. Cependant, même si les tickets de caisse sont digitalisés, ils peuvent encore contribuer à la pollution en raison de la production de papier et du transport des tickets de caisse.

Il est important de noter que l’utilisation de tickets de caisse dématérialisés peut contribuer à réduire l’impact environnemental associé aux tickets de caisse en évitant l’impression de tickets de caisse sur papier et en permettant un stockage et une gestion plus efficaces des données de paiement. Cependant, il est également important de souligner que l’utilisation de tickets de caisse dématérialisés peut avoir un impact environnemental, notamment en raison de l’utilisation d’appareils électroniques pour générer et stocker les tickets de caisse dématérialisés. Ces impacts peuvent être réduits en utilisant des appareils éco-énergétiques et en adoptant des pratiques durables dans la gestion des appareils électroniques. Je vous remercie de votre attention et je suis désolé pour les erreurs que j’ai commises dans ma réponse initiale.

 

En conclusion, mieux vaut se fier aux articles de notre base de ressources 😇. Nous avions par exemple écrit cet article sur le sujet de la controverse environnementale liée au ticket de caisse dématérialisé.

Crédit Photo d’illustration: mikemacmarketing.

 

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Ticket de caisse dématérialisé, un prétexte pour spammer? https://www.limpidius.com/en_gb/ticket-de-caisse-dematerialise-un-pretexte-pour-spammer/ Thu, 13 Oct 2022 17:24:16 +0000 https://limpidius.com/?p=3269 Dans notre précédent article, nous avons évoqué que certains clients se plaignaient de recevoir parfois des communications non sollicitées suite à l’envoi d’un ticket de caisse dématérialisé par email.

Nous avons ajouté que cette pratique tend à disparaître. Mais pourquoi arrive-t-il que certains retailers puissent encore y avoir recours? Sur quelle base juridique se fondent-ils?

Tout part d’un article bien connu et souvent cité, le fameux article L34-5 du “Code des postes et des communications électroniques”, qui, de notre avis, a conduit à des interprétations erronées.

 

Genèse du problème

Tout le monde le sait maintenant: envoyer un email à un client n’est autorisé que dans le cadre d’une finalité claire (“recevoir nos promotions” par exemple) pour laquelle le client aura donné son consentement en amont.

Tout se complique lorsque l’on découvre qu’il existe deux exceptions au recueil préalable de consentement. Passons sur la première qui ne concerne pas notre propos. La seconde en revanche est familière à bon nombre de juristes que nous avons rencontrés: la fameuse exception dite “des produits et services analogues” de l’article L34-5

Cette exception est possible à… 5 conditions:

✅ l’email est recueilli directement auprès de la personne concernée

❌ collecte de l’email respectant le RGPD (voir notre article sur le sujet)

✅ l’email est recueilli à l’occasion d’une vente ou d’une prestation

✅ la communication par email devra concerner des offres ou des produits similaires

✅ le client doit pouvoir s’opposer à l’utilisation de son email lorsque celui-ci est recueilli, ou plus tard, utilisé.

 

💡Le sujet de la controverse: là où nous mettons une “croix rouge”, d’autres y voient un “check vert”. 

Expliquons maintenant notre point de vue.

 

Particularité du ticket de caisse dématérialisé par email

Lorsqu’un client donne expressément son adresse électronique à l’agent de caisse pour recevoir son ticket de caisse dématérialisé, il consent implicitement à une finalité claire.

La finalité implique un traitement simple:

  • collecter l’email
  • le stocker le temps de l’opération de création du ticket de caisse digital et d’envoi par email
  • s’assurer que l’email a bien été reçu
  • supprimer l’email

➡ Rien dans cette finalité ne justifie de “stocker” l’email: il doit donc être supprimé.

Voici ce à quoi le client a consenti (si l’agent de caisse n’en a pas profité pour lui demander son consentement à d’autres finalités, mais là on retombe sur un schéma tout à fait classique).

 

CQFD

Utiliser l’email du client qui a consenti à recevoir son ticket de caisse dématérialisé par email, pour lui envoyer des offres de “produits ou services analogues” ne respecte donc pas l’exception du même nom. 

Le trou dans la raquette, c’est bel et bien la collecte de l’email, qu’il n’est pas légal de mettre en base sans finalité consentie qui pourrait le justifier. En l’absence d’email stocké en base, tout le récit autour de l’exception des “produits et services analogues” s’effondre complètement.

D’aucuns avancent que la CNIL, à la page 62 de son livre blanc sur le paiement sorti en octobre 2021, aurait de toute façon pleinement statué sur le sujet:

À titre d’exemple, une adresse électronique recueillie à des fins d’envoi d’un ticket de caisse ou de paiement dématérialisé ne saurait être utilisée à des fins de prospection commerciale

Mais il faut lire la suite de la phrase:

sans respecter les principes en la matière (à savoir le recueil du consentement de la personne concernée, ou l’information et la possibilité de s’opposer préalablement au moment de la collecte s’agissant de prospection concernant des produits ou services analogues à ceux déjà fournis par l’entreprise), la finalité de prospection commerciale et la finalité d’envoi des tickets de manière dématérialisée étant deux finalités bien distinctes.

qui remet en jeu tout le doute instillé par la clause « produits et services analogues ». A date, nous n’avons pas trouvé de clarification sur la façon dont le ticket de caisse dématérialisé pourrait être soluble dans cette exception. Notre interprétation est… qu’elle ne l’est pas.

 

Des contournements de sioux?

Le code des postes et des communications électroniques pourrait toutefois s’appliquer si par exemple le client consentait à “recevoir systématiquement son ticket de caisse dématérialisé par email”. Dans ce cas, l’adresse électronique du client aura bien été collectée dans le cadre d’une vente, et aura bien vocation à être mise en base (la finalité implique que le client ne re-saisisse pas son email à chaque passage en caisse).

Mais:

  • une telle finalité ne marche que pour des clients identifiés en caisse
  • il faudrait de toute façon proposer au client de s’opposer au traitement “produits ou services analogues”, ce qui reviendrait, dans les faits, à lui demander son consentement en caisse
  • Bref, les méthodes de contournement sont beaucoup plus compliquées que de demander simplement son consentement au client, et (de notre point de vue) plus éthiques.

 

À Limpidius, nous vous accompagnons dans la gestion des consentements à tous les niveaux: à travers notre module caisse EdgarPOS, sur notre verticale client Homer le Customer mais aussi sur nos différentes applications.

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Débats autour du ticket de caisse dématérialisé https://www.limpidius.com/en_gb/debats-autour-du-ticket-de-caisse-dematerialise/ Tue, 09 Aug 2022 09:03:09 +0000 https://limpidius.com/?p=3068 Les articles précédents de nos deux séries « supprimer les tickets de caisse en 2023 » et « e-ticket et RGPD » avaient pour but de positionner le ticket de caisse dématérialisé dans le cadre légal prévu pour la donnée personnelle. Depuis ces premiers écrits, le sujet a pris de l’ampleur. Les enseignes qui dématérialisent le ticket de caisse sont toujours plus nombreuses, du fait notamment de la loi AGEC.

Si la plupart des clients semblent apprécier le ticket de caisse dématérialisé, certains s’inquiètent de ne plus pouvoir vérifier leurs achats suite à l’encaissement, ou de l’utilisation de leur e-mail.

Ticket de caisse dématérialisé : les chiffres

À Limpidius, nous traitons des milliards de transactions, nous sommes positionnés sur de nombreuses activités (alimentaire, bricolage, sport, beauté, textile…), et nous couvrons tout type de format (boutiques, proxi, super, hyper…). Il nous suffit de regarder nos statistiques pour mesurer l’appétence des clients au ticket de caisse digital.

Dans l’alimentaire, secteur qui génère le plus de tickets de caisse, en moyenne un client sur deux n’imprime plus son ticket de caisse une fois Limpidius déployé.

Dans les autres activités, cela dépend de nombreux facteurs : montant des paniers, récurrence d’achat, présence d’articles sous garantie; typologie de la clientèle… Par exemple, les enseignes de prêt-à-porter dédiées aux enfants s’adressent à une clientèle de parents dont la moyenne d’âge est entre 25 et 35 ans : 80% dématérialisent leurs tickets de caisse!

Plus intéressant encore, nous avons observé une progression de ce taux depuis nos débuts avec les grandes enseignes, où le taux de dématérialisation était seulement de 30% à l’époque. Nous considérons être à l’origine de ce progrès, grâce aux procédés toujours plus fluides que nous avons mis en place et surtout en “craquant” (jargon startup, désolé pour les non habitués) tous les problèmes qui empêchaient alors les grandes et moyennes surfaces de proposer notre service. Mais il faut aussi humblement reconnaître que le législateur a fait sa part en votant la loi AGEC.

À la louche, nous avons donc une moitié de consommateurs français qui cesse d’imprimer ses tickets de caisse, soit en optant pour le ticket de caisse dématérialisé, soit en se passant complètement de ticket.

 

Réticence #1 : “on me force à…”

Nous tenons là un verbatim assez classique chez tous ceux qui ne souhaitent pas dématérialiser leurs tickets de caisse.

Pour que les choses soient claires, la loi AGEC n’impose pas que le client reparte sans ticket, ni qu’il reçoive un ticket digital. La loi AGEC dit simplement que, à partir du 1er janvier 2023, si le client souhaite un ticket de caisse papier, il le demande… En un coup de cuillère à pot, cette loi va éviter l’usage de millions de tonnes de papier. Donc oui, nous sommes pour, et nous pensons que le client peut souffrir de demander son ticket papier s’il le souhaite.

Il existe aussi une mini-polémique sur le sujet de l’affichage. Pourquoi n’est-il pas exigé dans la loi que les enseignes préviennent les clients de la nouveauté, moyennant une petite affiche? Il faut aimer les polémiques mais dans les grandes lignes, les réponses entendues sont du type : “nul n’est censé ignorer la loi” ou encore : “ les enseignes vont le faire toutes seules comme des grandes”. À Limpidius nous pensons qu’une petite affichette ne fera pas de mal, même si ce n’est pas écrit noir sur blanc dans la loi.

 

Réticence #2 : “je ne veux pas donner mon e-mail”

Étant craintifs à l’idée de céder nos données personnelles, nous comprenons bien plus cette préoccupation que la première, qui nous semblait plus relever de la responsabilité individuelle.

Toutefois cette question doit être mise en perspective. 

Le ticket de caisse dématérialisé n’implique pas forcément un e-mail

Le ticket de caisse digital n’est pas forcément envoyé par e-mail. Il peut être simplement déposé sur un compte client, dans une application, dans un wallet etc… Les possibilités sont nombreuses.

Il existe par exemple beaucoup de clients qui choisissent de ne pas imprimer leurs tickets de caisse, simplement parce qu’ils ont l’assurance de le retrouver sur leur compte client en cas de besoin.

Les e-mails sont déjà connus dans la grande majorité des cas

Dans la grande distribution, les clients fidélisés sont très nombreux. La carte de fidélité est souvent déjà associée à une adresse électronique. En conséquence, la plupart des clients n’a pas à saisir d’e-mail puisqu’il est déjà connu dans la base de l’enseigne.

Dans les faits, la très grande majorité des clients qui reçoivent un ticket de caisse dématérialisé par e-mail n’a pas eu à saisir d’adresse électronique en caisse.

le RGPD est “censé” protéger les données

Les sujets de données personnelles sont donc restreints aux clients dont l’adresse électronique n’est pas encore connue en base chez le retailer.

Si un client communique à une enseigne son adresse électronique dans la finalité de recevoir son ticket de caisse digital par e-mail, l’enseigne doit impérativement recueillir son consentement pour exploiter cette même adresse dans le cadre d’une autre finalité. 

Au passage, la finalité « envoyer un ticket de caisse par e-mail » n’implique pas de stocker l’e-mail. Une enseigne ne doit donc pas mettre en base l’e-mail d’un client qui a uniquement demandé à recevoir un ticket de caisse dématérialisé.

Certains clients se plaignent d’avoir été tout de même contactés par une enseigne après avoir simplement demandé un ticket de caisse dématérialisé. Sans autre consentement.

Il y a certainement encore des cas de ce genre, toutefois il nous semble heureusement que les enseignes sont de plus en plus nombreuses à respecter strictement le RGPD (voir ici notre article sur le sujet. 

 

Les e-mails, “ça pollue”

Le débat autour du e-ticket porte enfin sur les bienfaits environnementaux du ticket de caisse dématérialisé. Certains affirment même que les e-tickets rejettent plus de CO2 que les tickets papier.

Nous sommes là sur un débat qui n’est hélas pas documenté : aucune étude à notre connaissance n’a, à ce stade visé, spécifiquement le ticket de caisse dématérialisé par e-mail. Les études souvent évoquées qui incriminent les e-mails datent en général du tout début des années 2010 (depuis le cloud est venu mutualiser un tas de ressources) et prennent comme hypothèse des e-mails de type « Newsletter » d’un poids de 1Mo (un e-ticket “pèse” 10 fois moins). L’étude la plus citée est celle de l’ADEME : à la page 10, les hypothèses sont très loin du e-ticket de caisse.

L’autre volet environnemental concerne l’activité fort polluante (essentiellement en Chine) que constitue la fabrication du papier thermique à l’origine des tickets de caisse. Ce point à lui seul est suffisant pour se convaincre d’éradiquer les tickets papier, et fait consensus auprès des écologistes.

À Limpidius, nous n’avons pas comme cible d’envoyer des e-mails, mais de digitaliser le ticket de caisse pour le déposer sur un compte client. Pour le coup, un tel dispositif présente une empreinte environnementale très faible. Et comme il est possible de le monitorer avec précision, les résultats peuvent cette fois être documentés.

En revanche, il faut garder en tête que, pour des raisons légales, les tickets de caisse sont de toute façon digitalisés par les enseignes. Supprimer les supports papier ET les supports électroniques, pour une empreinte nulle, n’est donc pas envisageable. À Limpidius, nous pensons qu’à partir du moment où l’enseigne garde une copie numérique de ses tickets de caisse, il n’y a pas de raison que ses clients n’en profitent pas également.

 

Pour plus de légèreté, vous trouverez le point de vue de ChatGPT sur le sujet dans cet article. Dans un prochain article, nous vous donnerons plus de détails sur les clients qui choisissent de ne pas imprimer leurs tickets de caisse, ainsi que les contextes dans lesquels ils font ces choix.

Mise à jour: 15/12/2022 ➡ le décret d’application de la loi AGEC sur les tickets de caisse vient de paraître. Nous le décortiquons ici.

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